Bienvenue sur "Découverte de la Chine" ! Aujourd'hui, plongeons dans les derniers développements des tensions entre les États-Unis et la Chine, en examinant les sanctions, les contre-mesures et les implications sur le marché mondial.
Au cours de la dernière année, les États-Unis ont intensifié leurs sanctions contre la Chine à un niveau sans précédent. De la restriction des exportations de puces graphiques de Nvidia à la formation d'alliances trilatérales pour entraver les approvisionnements de semi-conducteurs, en passant par l'octroi de subventions pour attirer TSMC aux États-Unis, les pressions sont multiples.
Cependant, la Chine a répondu de manière décisive, mettant en œuvre trois piliers de contre-mesures qui se sont avérés redoutablement efficaces. Un point notable est l'opposition publique d'Elon Musk et du PDG de Nvidia, Jensen Huang, contre les politiques de déconnexion des États-Unis, soulignant l'importance cruciale du marché chinois.
Le premier pilier est la "restriction", avec la Chine limitant l'exportation de technologies clés. Des secteurs tels que le silicium photovoltaïque et les terres rares font désormais l'objet de restrictions, renforçant le contrôle sur des éléments cruciaux.
Le deuxième pilier est l'"interdiction", illustrée par une enquête approfondie sur Micron en mars. Les vulnérabilités révélées ont conduit à l'interdiction de l'achat de composants essentiels, frappant durement les opérations de Micron.
Le troisième pilier est la "sanction", visant les géants militaires américains Lockheed Martin et Raytheon, vendant des armes à Taïwan. La Chine les a désignés comme entités peu fiables, imposant des amendes importantes pour leurs actions.
Notons qu'Hayes, PDG de Raytheon, a radicalement changé de position, reconnaissant l'incapacité des États-Unis à se passer du marché chinois, notamment en raison de leur dépendance à plus de 95 % des terres rares chinoises.
Quatre mois après des sanctions sévères, Hayes a plaidé pour la coopération avec la Chine, soulignant la dépendance critique de Raytheon à l'égard de ressources chinoises pour les terres rares. Cela soulève des questions sur la viabilité à long terme des politiques de déconnexion américaines.
Raytheon, initialement sûre de son soutien américain, a dû faire face à la réalité de sa dépendance envers la Chine. Ses filiales en Chine et les ramifications commerciales ont été sérieusement touchées.
Cependant, la déclaration d'Hayes semble superficielle, car Raytheon hésite toujours à payer les amendes. Les experts soulignent l'importance pour Raytheon de rectifier ses erreurs passées et de payer l'amende pour éviter des sanctions continues.
Cela met en évidence la position ferme de la Chine face aux menaces extérieures. Elle ne cherche pas l'intimidation, mais elle refuse de se laisser intimider. Les conséquences sont inévitables pour ceux qui menacent ses intérêts.
Merci de nous avoir rejoints. N'oubliez pas de mettre un pouce vers le haut, de vous abonner et d'activer la cloche pour rester informé des développements dans les domaines des affaires, de l'histoire économique, des relations internationales et de la géopolitique. #TensionsUSChine #Sanctions #CoopérationChineUS
Au cours de la dernière année, les États-Unis ont intensifié leurs sanctions contre la Chine à un niveau sans précédent. De la restriction des exportations de puces graphiques de Nvidia à la formation d'alliances trilatérales pour entraver les approvisionnements de semi-conducteurs, en passant par l'octroi de subventions pour attirer TSMC aux États-Unis, les pressions sont multiples.
Cependant, la Chine a répondu de manière décisive, mettant en œuvre trois piliers de contre-mesures qui se sont avérés redoutablement efficaces. Un point notable est l'opposition publique d'Elon Musk et du PDG de Nvidia, Jensen Huang, contre les politiques de déconnexion des États-Unis, soulignant l'importance cruciale du marché chinois.
Le premier pilier est la "restriction", avec la Chine limitant l'exportation de technologies clés. Des secteurs tels que le silicium photovoltaïque et les terres rares font désormais l'objet de restrictions, renforçant le contrôle sur des éléments cruciaux.
Le deuxième pilier est l'"interdiction", illustrée par une enquête approfondie sur Micron en mars. Les vulnérabilités révélées ont conduit à l'interdiction de l'achat de composants essentiels, frappant durement les opérations de Micron.
Le troisième pilier est la "sanction", visant les géants militaires américains Lockheed Martin et Raytheon, vendant des armes à Taïwan. La Chine les a désignés comme entités peu fiables, imposant des amendes importantes pour leurs actions.
Notons qu'Hayes, PDG de Raytheon, a radicalement changé de position, reconnaissant l'incapacité des États-Unis à se passer du marché chinois, notamment en raison de leur dépendance à plus de 95 % des terres rares chinoises.
Quatre mois après des sanctions sévères, Hayes a plaidé pour la coopération avec la Chine, soulignant la dépendance critique de Raytheon à l'égard de ressources chinoises pour les terres rares. Cela soulève des questions sur la viabilité à long terme des politiques de déconnexion américaines.
Raytheon, initialement sûre de son soutien américain, a dû faire face à la réalité de sa dépendance envers la Chine. Ses filiales en Chine et les ramifications commerciales ont été sérieusement touchées.
Cependant, la déclaration d'Hayes semble superficielle, car Raytheon hésite toujours à payer les amendes. Les experts soulignent l'importance pour Raytheon de rectifier ses erreurs passées et de payer l'amende pour éviter des sanctions continues.
Cela met en évidence la position ferme de la Chine face aux menaces extérieures. Elle ne cherche pas l'intimidation, mais elle refuse de se laisser intimider. Les conséquences sont inévitables pour ceux qui menacent ses intérêts.
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- Entrepreneur
- Mots-clés
- Sanciones económicas, Guerra comercial, Relaciones internacionales
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